{Sachiro Ogawa _________ Stupid Boy]

Invité

◘ IDENTIFICATION

Nom : Ogawa
Prénom : Sachiro Kaiji Keith
Âge : 19 ans
Groupe : Rock'n'Roll
Sexe : ♂ [x] ♀ [ ]
Pré-définis ? : Yes [ ] No [x]

◘ BIOGRAPHIE

Famille : Ses parents sont mort ... Et Keith se contente juste de leurs fortune, regrettant ses gestes. Et il ne chercha pas à trouver domicile chez un quelconque autre membre de sa famille.

Histoire:
Passé De Son Passé ... Acte 1]
1 , 2 ... Secondes, minutes et heures défilent sans cesse et je ne me
sens pas emporté dans le temps. Comme dans ces films où la bobine passe
plus vite, ces clips beaux où non on l'on aime représenter le temps qui
s'écoule, les saisons qui changent alors que dans la réalité, une
minute s'est à peine écoulée, et qu'on ne fait pas partie de ce monde
représenté : on est externe à la situation, le monde dans cet écran
n'est le monde que d'une boite où nous ne serons jamais. Et la réalité
n'est plus. Plus pour moi. Je n'ai plus la notion du temps et je me
sens aussi vide que je n'ai jamais pu l'être auparavant : avant je ne
pouvais m'évider. Avant j'étais plein, je peuplais ma vie de visages
sans regards, de lèvres chaudes, de flash incessants, de photos et de
corps de pantins désarticulé dont je magne les fils avec adresse en
oubliant que je suis moi-même manié. Par qui ? Je l'ignore. Et je ne
veux pas le savoir. Les êtres que je vois, que je crois voir dans le
monde réel, n'est qu'une succession de visage sans vie : sans oeils,
sans nez, sans bouches ; surfaces lisses où je dessine moi-même les
traits tels que je voudrais qu'ils soient. Sans succès. Et j'ai finis
par ne plus voir mon propre visage et je rejoins mes pantins que je
dois décorer pour finir insatisfait à nouveau. Éternellement. Je
finirai sur une armoire, tête inclinée, étouffant sous une poussière
que je ne pourrai repousser et plus personne ne voudra manier mes fils
à nouveau. Je serai sale et perdu. Et je serai en paix. Un jour
peut-être, viendra, où une violente envie me prendra et me redonnera
l'envie de vivre. De revivre. Que quelqu'un osera poser son regard sur
ce pantin désarticulé, aux envies articulées, d'être ré articulé.
Peut-être ... Un Jour.

Les journées passent et trépassent. Une vie monotone et lassante. Les
clichés ont perdues les couleurs vives, et leurs odeurs envoûtantes. Je
ne vois plus ce soleil clinquant, qui m'éblouis les yeux. Je ne sens
plus le parfum de ces roses, ou des parfums hors de prix. Tout me
semble morne, et sans intérêt. Les jours, les semaines, les mois
s'enchaînent, sans que je n'arrive à m'accrocher à quoi que ce soit. Je
suis victime du temps. Insaisissable tel un papillon, je me tais, et
encaisse les coups sans grande conviction.
Les soirées passées à regarder les photos, ne sont plus aussi belles
que dans mes souvenirs, je m'ennuie. Et cruellement, Dame Nature ne
m'apporte point de réconfort, ou de solution à mon terrible problème.
La nicotine vous rend dépendant d'elle, et vous incite inconsciemment à
reprendre cigarette sur cigarette. Je fume. Et je crèverai donc d'un
cancer des poumons. A moins que j'encastre ma voiture dans un arbre
avant. De toute manière, il faut bien mourir de quelque chose. Si ce
n'est pas ça, cela sera de vieillesse, ou bien d'un délinquant qui me
plantera au coin de la rue, car je n'aurais pas voulu lui donner mon
portefeuille. Et qui pleurera ma perte ? Personne. Personne ne
pleurera, ne déprimera. Je n'engendrerai pas de déprime, juste une
perte considérable de revenue, dans le milieu dans lequel je travaille.
Un milieu de paillette et de strass. Où les apparences sont les plus
importantes. Un sourire. Rien n'est plus trompant qu'un sourire. On
peux faire croire de millions de choses avec un sourire. Que tout va
bien. Que c'est parfait. Qu'on est heureux.
Je suis photographe, ma principale qualité, est donc d'observer ce qui
m'entoure. Regardez-les ... Ils sourient tous, avec leurs grands airs.
Habillé exclusivement avec des vêtements signés par de grandes maisons
de coutures. Chanel, Dior, Prada, et j'en passe. Ces mannequins, se
donnant une allure hautaine, ou boudeuse, croyant qu'elles manient tous
ce qui les entourait. Elles se trompaient grandement. Moi j'étais celui
qu'elles croyaient. Celui qu'elles écoutaient. Elles allaient jusqu'à
penser ce que je disais, car j'étais un grand photographe à renommée
mondiale.

" Alexandre !

Je me redressais, submergeant de mes songes, levant les yeux des photos étalées sur mon bureau.

- Humm ?
- Tu es au courant ? Un nouveau mannequin ! Bien des rumeurs courent déjà sur elle ...
- Et alors ?
- Elle est subblimisisme !
- Bien sûr. Aussi superficielle que les autres. Non merci."

Je l'avoue, je n'était pas très aimable. Je suis une personne
caustique. Neutre, voir froide. Aux premiers abords, on a l'impression
que je suis sur les nerfs. Que si on me dérange, je vais bouffer tout
cru la personne qui à oser déranger, le Dieu Alexandre. Le Dieu ...
Joli. Après tout, chaque personne est plus ou moins narcissique. Nous
le sommes tous un peu. Nous le montrons ou pas. C'est la manière de le
faire qui change d'un être à un autre. C'est l'estime de sois même, le
manque de modestie, sa fierté. Tout le monde à sa fierté, tous. Je ne
connais pas un être n'en possédant pas. Même un enfant en possède une.
Et ceux qui disent qui n'en possèdent pas, le sont encore plus que les
autres. Mais dans le monde auquel j'appartiens ... Il est dur de savoir
qui est le plus égocentrique de tous. Ils sont imbus de leur personne,
capricieux, désirant le meilleur de tout, l'exclusivité. Il veulent
tout, mais ne donnent rien. Pas même un sourire. Quand j'y pense, je me
demande bien ce que je fais ici. Je ne leur corresponds en rien, et
pourtant je commence à devenir comme eux. A force de les côtoyez, je
deviens pourri, moi aussi.

Je redresse à nouveau la tête. Un chahut insupportable me parvient de
l'accueil. Je me lève, nonchalant, allant voir ce qui venait perturber
ma profonde concentration. Un sourire amusé, je viens de trouver la
source de tout ce vacarme. Un mannequin en retard, complètement
défoncé. Je pense que le milieu de la photo, réunis bien des vices. Le
luxe, la luxure, la drogue. Il doit avec 99% des personnes travaillant
ici, qui son accro à l'héroïne, cocaïne, ou LSD. Ils y ont tous
touchés, et si ce n'est pas encore le cas, attendez un peu. Moi même,
j'y ai déjà touché. Bien que j'aime cette sensation si particulière sur
le coup, la descente est trop brutale. Je n'en prends plus. Je n'aime
pas, ne plus me souvenir de ce que j'ai fais. Et je ne peux travailler
dans ces conditions.
Je retourne dans mon bureau, terminant la sélection des meilleurs
clichés que j'ai fait. Les dernières doivent sûrement encore être dans
la chambre noire.
Travail terminé. Je range. Et direction mon appartement.

[…]

Les journées se suivent et s’enchaînent ; et se ressemblent.
Cruellement. Cette vie est lassante, et je n’y porte plus aucuns
intérêts. Un chemin identique, des journées identiques, des repas
identiques, des conversations similaires. Pourtant, mon être entier est
ancrée dans l’excitation. Comme celle d’un enfant qui sait que dans
quelques minutes une dizaine de boîtes couvertes de papier cadeaux
seront devant lui, et pour lui. Et tout ça … A cause de ce nouveau
contrat. Alexandre Andrews, photographe profession ; Mannequin
attribuée : Ayaka Ogawa. Dans quelques heures, j’allais enfin voir de
mes propres yeux cette créature que mon cher ami désignait comme «
sublimissime. ». Sans le savoir, et surtout sans le savoir cette
personne m’obsédait. Je m’imaginais mille et uns scénarios de notre
entretient. Je l’imaginais aussi belle qu’un levé de soleil, avec un
sourire si doux, et une beauté à en couper le souffle. Une beauté dont
aucuns artifices ne pourrait changer quelque chose : Si belle et si
pure.
Impatient, je n’arrive pas à rester calme. Je jetais sans cesse des
regards à l’horloge posée juste en face de moi. Chaque minute me
paraissait une éternité, durant lesquelles ma patience disparaissait
peu à peu. Pour m’occuper je range mon bureau. Je reclasse pour la
énième fois le dossier des dessins des tenues que cette Mademoiselle
Kamijo est censée porter. L’heure arriva.

Je prends mes affaires en hâte, me dirigeant avec cette assurance hors
du commun à la salle prévue pour l’entrevue. Je bouillonnais
d’impatience. A quelques mètres de la porte, une femme s’y trouve non
loin. Elle semble attendre quelque chose, et lorsqu’elle m’entend, elle
se retourne vers moi. Mon excitation s’envola. Cette femme était …
Banale. Je lui souris néanmoins, elle me tend la main, main que je
serra assez fermement.

« Vous êtes Monsieur Andrews ?
- Oui.
- Je suis la manager de Miss Ogawa, Aikû Yamamoto.
- Enchanté Miss Yamamoto.
- Elle vous attend dans la pièce. Je voulais vous prévenir que je ne
peux rester, car j’ai un Rendez-vous important. Donc je vous laisse
avec Miss Ogawa. Au Revoir.
- Au Revoir …. Miss Yamamoto. »

Je le regarde partir, avec cet étrange réconfort d’avoir appris,
qu’elle n’était pas la créature qui m’hantait depuis deux jours durant.
Ma main frôle la poignée de couleur métallique. J’appréhende ce que je
vais découvrir de l’autre côté. Une femme si belle que j’en resterais
le souffle coupé, ou une simple femme sans aucun grand intérêt physique
? Je ferme les yeux, inspirant doucement, reprennent cette assurance…
J’actionne la poignée, et la pousse, entrant avec un fin sourire. Mon
regard glissa sur le corps entier de cette femme. Les quelques secondes
entre le moment où je m’approchai pour lui tendre la main et le moment
où je la découvrais me sembla une éternité. Ses longs cheveux noir jais
encadrant son doux visage. Ses yeux en noisette, dont les longs cils
les prolongeaient. Avec de fins sourcils. Un petit nez légèrement
écrasé. Un nez parfait. Des lèvres fines mais à la fois sensuelles, de
couleur rosée. Un mètre soixante deux, environ, ses jambes vêtues de
collant noir semblaient fines et légèrement musclées. C’est lorsque mon
regard rencontra les siens que je fus totalement envoûtée. Elle avait
un regard gris bleu, si profond. Aussi beau que des diamants. Et
lorsqu’elle me souris je cru fondre littéralement…

[…]

« Chéri ?
- Hmmm ?
- J’ai perdu les eaux … !!! »

Alexandre se redressa, remarquant alors la flaque d’eau entre les jambes de sa femme.

« Ayaka ! Je fais quoi ?
- Faut aller à l’hôpital !
- Maintenant ?!
- JE VAIS ACCOUCHER ALEX ! »

Nerveux, excité, anxieux, Alexandre amena sa femme à l’hôpital à temps ! Heureusement pour Madame XD […]

« Comment l’appelez-vous ?
- Sachiro… »

Le petit …. Sachiro Kaiji Keith, Ogawa Andrews, de nom complet x’3 arriva au monde un 31 Décembre aux environs de 23 heures. [Porte le nom de sa mère.]

L'évolution D'une Saison - Acte II ]
Petit, tous les enfants veulent être comme Papa, et épouser Maman.
Mais, moi, je ne veux pas être comme papa, et épouser maman. Maman est
folle. Complètement. Elle rigole pour un rien, elle sourit sans arrêt.
C’est la bonne humeur, et la joie réincarnée. Elle est beaucoup trop
hyperactive. Je ne sais pas comment papa fait pour la supporter. Lui,
pendant quelques années, il fit passer son boulot de photographe avant
la famille. Comme maman en faite. J’ai eu des dizaines de gouvernantes,
s’occupant de moi. J’ai pu apprendre quelques mots dans de diverses
langues. Mais toutes partaient bien vite. La plupart pour les mêmes
raisons.

« Les questions, le raisonnement du petit …
- Et bien ?
- Il est trop mature pour son âge.
- Mature ? Sachiro !? »

Ou alors pour la présence inexistante des parents.

Le peu de temps que je les voyais ils étaient occupés. Alors je
m’intéressai davantage au métier de mon père. C’est de cette façon que
notre relation devint plus intense, plus complice. Je lui posais des
questions. Il m’emmenait souvent aussi dans son studio pour prendre les
photos. Parfois, j’avais même droit d’en prendre.
A 14 ans, je possédais mon premier REFLEX. Et j’en étais fier. On
déménageait souvent. Alors j’avais des professeurs particuliers.
J’avais un bon niveau dans toutes les matières. Mais particulièrement
en musique.

La gloire de ma mère fut éphémère. Je pense qu’elle était jalouse du
fait que mon père soit toujours un photographe adulé. Nous vivons au
Japon. Et nos vacances ne sont jamais au même endroit. Je dois dire que
je ne peux pas me plaindre. Alors pour le lycée je rentrai pour la
première fois dans une vraie école. Mon intègrement fut … Laborieux.
Les professeurs, le regard des autres. Les filles. Les garçons aussi.

J’étais à la fois cet élève qui foutait la merde en cours, et celui qui
lors des contrôles écrit avait de bonnes notes. Les professeurs avaient
du mal à me cerner. Les élèves n’ont plus. Je devins rapidement une
personne populaire. Très populaire.
Pour entamer la déchéance d’un être il en faut peu. Mais transporté par
une vague de rébellion, j’avais pris la décision de me faire percé la
langue. Chose qui ne fut guère appréciée par mes parents, lorsque je
suis revenu comme ça. Je ne sais plus combien de temps e fus punis. Je
pense que c’est plus, car je ‘lai fais sans leur autorisation qu’autre
chose.
Je ne parle plus à mes parents, voulant leur faire payés leurs absences
si longues et nombreuses. Le peu de temps que je les voyaient, je ne
disait rien, ne leurs répondait pas. Je voulais leur faire comprendre
que je leurs en voulait.

Seulement, un jour, je ne sais plus pour qu’elle raison, nous devions
aller à la banque. Nous trois. Nous attendions un homme, pour
finalement aller dans son bureau. J’écoutais, et même si c’était pour
moi, je m’en foutais un peu. Une dispute éclata entre mon père et moi,
et finalement je sortis de ce bureau, irrité, et ahuri de colère. Tous
ce passa très vite. Une voix, des cris, des personnes s’assirent par
terre. Je me retournais sans comprendre ce qu’il se passait. Puis ces
hommes habillés de noir, cagoulés, et surtout armés entrèrent dans mon
champs de vision. L’un des cinq me pointa du doigt et me cria dessus :

« TOI ! ASSIS ! Le premier qui bouge je le descends. OKAY ? »

Mon regard ce tourna vers ce couple, et cet homme qui sortait du
bureau. Ce couple qui accourait vers moi, et qui se firent trouer le
buste, la tête, devant mes yeux. Le corps de la femme vint me tomber
dans les bras, tandis que celui de l’homme tomba par terre, mort. Un
hurlement s’échappa de mes lèvres. Les larmes ruisselèrent sur mes
joues… Ma mère me murmura quelques mots. Qu’elle m’aimait. Que je
devais faire attention. Sous les menace de ce même homme… Je me tus,
pleurant toujours, en berçant le cadavre d’Ayaka.

C’est ce jour là que je me suis juré de me venger.

Invité

Un Départ, Une recommencement.... - Acte III ]
Depuis ce jour… Je désertai le lycée. Je désertai la vie. Me
concentrant sur les trois hommes (sur cinq) qui se sont fait enfermés
pour le braquage de la banque. J’avais assisté aux procés, et aucuns
des trois n’étaient l’homme qui avait … Qui avait tué mes parents. Je
me sentais cruellement coupable. Ils avaient accourut vers moi. Pour
moi. Car j’avais fais l’égoïste. Une fois de plus. Comme toujours.
Mes recherches sur cet homme, bien qu’elles me prirent des mois durant,
j’étais sûr de son identité. A 99,99 %. Je ne sais plus comment, je ne
sais plus exactement ce qui c’est passé ce jour là, dans cette ruelle.
Mais je n’aurais sûrement pas dû le provoquer autant. J’étais fou,
hystérique. Obsédé par cet homme. J’en devenais agressif, violent. Et
lorsque je le vis seul, dans cette ruelle, l’envie n’était que trop
forte. Je le provoquais ouvertement. Je le menaçais. J’aurais pu le
balancer aux flics, mais je voulais avoir la vengeance de ma propre
main. En lui volant sa vie comme il l’avait fait avec mes parents.

Nous nous bâtîmes pendant de longues minutes. Je ne sais plus, je ‘lai
attraper par les cheveux à un moment donné. Non loin du mur, je l’y ai
cogné, une, deux, trois fois. Le sang me giclait sur le visage, mon
cœur battait la haine. J’étais horrifié. Obsédé par ce cadavre qui me
tomba aux pieds. A la fois horrifiés, dégoûtés. Pourtant je sentais ma
colère s’apaiser. Mais ma vengeance n’était pas assouvie ….

Dépression, dépression.

La fortune de mes parents m’était inaccessible jusqu’à mes 18 ans.
Alors j’étais à la rue. Je vécu dans la rue. La prostitution pour
arrondir les fins de mois. La drogue. La déchéance de mon âme et de mon
corps était lancée.
A mes 18 ans, je pris une résolution. Oublier mon passé, repartir à
zéro. Je repris mes études, et voulu devenir psychologue … je voulais
tout comprendre.

Me voilà à présent ici.
Une réorientation scolaire.
De nouvelles relations.

◘ PHYSIQUE

Apparence : Ce cher Sachiro est grand, il fait 1m77.
Bien on va faire un petit voyage sur le corps parfait de ce jeune
garçon, alors, on commence par où, le bas ou le haut ? Soyons fou, le
bas !
Le jeune garçon à des pieds très fins, et de taille normale pour un
homme de sa taille, il chausse du 39. Normale, ai-je dis ? Non c'est
pieds sont petits TT Il avoue d’ailleurs sans modestie, que ses pieds
sont parfaits et qu’il n’est pas difficile pour lui de trouver
chaussure à son pied. Bien des jeunes hommes seraient jaloux de voir,
qu’il est loin d’avoir des pieds de hobbit. Son secret ? Ne pas oublier
de les hydrater et porter des semelles anti transpirantes.
Nous allons remonter légèrement, vers les longues jambes du garçon.
Elles ne sont ni trop fines, ni pas assez, elles sont musclées et
généralement, savent courir très vite quand son cerveau le lui ordonne.
Les poils ? Ah oui, détail important, naturellement, comme tout le
monde, il en a, mais très peu, vive les origines asiatiques ! Aucune
cicatrice sur ses genoux, qui sont loin d’être osseux, non ils ne sont
pas ronds, mais ovales.
Passons certains endroits plutôt intimes, pour éviter de trop traumatiser les
plus jeunes.

Nous arrivons maintenant sur une partie assez intéressante (n’est ce
pas mesdemoiselles^^). Le torse. Comme toutes les parties de son corps,
il est assez musclé, enfin, juste comme il faut, mais attention,
Monsieur aime s’entretenir, et passer du temps à la salle de sport.
Donc, nous allons faire un tour sur ses abdos, jolies petites tablettes
de chocolat, miam ! En faite non, légèrement marqué s’en plus. Bon mais
arrêtez de baver, sinon je vais vous chercher des bavettes ! Bon,
d’accord, pour vous faire plaisir, je redescends, très légèrement, sur
le pli de l’aile…. Hum, très développé, et affreusement sexy. Un peu
plus bas, et secret tatouage On remonte donc vers les pecs de ce jeune
homme. Oui, intéressant parfaitement dessiné.

« Retournez vous je vous prie Monsieur Ogawa».

Le dos, ben oui, ça peut être très sexy un dos, et celui de ce charmant
monsieur en est le parfait exemple. En bas du dos ? Un tatouage tribal.
Les lombaires ? Très utile dans la vie quand on a besoin de s’exprimer
oralement correctement. Les siennes sont donc assez développées. On
remonte le long d’une colonne vertébrale parfaitement lisse et courbée
juste comme il faut, pour se poser sur ses omoplates, ni trop écartées,
ni pas assez.
Alors, ses bras, ils sont musclés, mais fins, et pas du tout poilus !
Ses mains, sont très longues et fines comme des mains de pianistes, ah
mais sa tombe sa, tiens donc ! Elles sont douces. Ses ongles sont bien
souvent longs plus ou moins, et la plupart du temps vernis.. Il a les
poignets souples.
Allez, on grimpe encore vers une nuque, lisse, fine, et longue, comme nous les
aimons toutes dans le fond.

« Excusez moi de vous déranger, auriez vous l’obligeance de bien
vouloir vous retourner de nouveau ? »

Nous avons passé le cou rapidement, qui est aussi parfait que sa nuque.
Tiens donc, voila une partie des plus intéressantes, le visage. Il a
une forme ovale, un menton très fin et légèrement pointu, mais pas trop.
Hum, la bouche, de celle qu’on a toute envie d’embrasser, elle est
légèrement rose. Ses lèvres sont loin d’être desséchées (vive les
baumes au miel et au beurre de karité, n’est ce pas ?). Elles n’ont pas
une forme de cœur, je vous rassure, non, elles sont fines, mais bien
sensuelles. Quand monsieur sourit, c’est limite si le monde autour de
lui ne font pas comme un glaçon.
Pas de barbe de trois jours, bien que, j’avoue, parfois, ce soit aussi
très séducteur. Non, ses joues sont lisses et pas trop joufflues.
Le nez, alors il a un nez très fin, qui n’est pas court pour autant. Il
aurait le nez parfait pour un piercing, mais non, ce n’est pas trop son
truc à cet endroit là.
Les yeux, ils sont légèrement bridés et noisettes, il a des cils fins.
Son regard est charmeur et il sait en user quand il le faut. Mais la
plupart du temps, son regard a plutôt tendance à être neutre, ou alors
agacé, il a tendance à exprimer ses sentiments par ses yeux.
Ses sourcils, il ne les a jamais épilé de sa vie (encore heureux ! ),
mais il ont la forme parfaite, c'est-à-dire légèrement courbés, ce qui
agrandit son regard ( hj : j’ai encore quelques notions de maquillage
XD !) et le rend encore plus intense.
Ah, les cheveux, il les soigne ses cheveux ! Ils sont mauves, au
naturel, et bien souples, un peu comme ceux du gars dans la pub head
and shoulders, au moment où il passe sa main dans ceux-ci. Qu’est qui
les aimes ses cheveux ! Toujours à changer de coupes, des mèches, des
rajouts, une teinture !
Son teint est basané, grâce à ses origines asiatiques.
Ce qui se dégage de lui ? Un charme fou auquel il est difficile de résister
bien sur.

Parlons perçing…. Ce n'est pas ce qu'il manque. Il en as 7 sur
l'oreille droite, et deux sur le gauche. Un sur la lèvre côté gauche,
un au labret au milieu. Un à l'arcade, au sourcil gauche. A la langue
aussi. C'est tout XD Bien sûr il ne les mets presque jamais tout en
même temps è.é

Style vestimentaire : Le jeune homme peut un jour être
habillé avec un débardeur deux fois trop grand, un jean's trop grand et troué,e
t des vieilles basket. Le lendemain avec une chemise et cravate, un jean's et
des rangers. Ou encore très class. Il mélange des styles, et peux passer dans
des périodes aux couleurs très voyantes, aux couleurs sombres. Bref, rien de
bien précis.

Invité

◘ PSYCHOLOGIQUE

Caractère : Mystère. C’est ce qui entoure le jeune homme depuis toujours. Personne
ne sait vraiment qui il est, et ce dont il est capable, outre le fait qu'il a le poing facile.
Aux premiers abords,
Il parle peu, mais quand il ouvre la bouche c’est toujours pour dire quelque chose d’important. Son mutisme peut parfois être interprété comme une marque d’ignorance, et celui qui pensera ça aura tout à fait raison. Sachiro n’a absolument rien à faire des autres. Il se sent au-dessus d’eux, peut-être même au-dessus de tout. Les autres ne sont que des sous-merdes. On ne peut pas vraiment dire que la présence des autres le dérange, puisqu’il n’y prête en réalité aucun intérêt. Il prend plutôt les gens comme des proies que pour des humains. Oui, des proies auxquelles il peut faire ce qu’il veut.
Kelly [Surnom] n’aime rien. Où plutôt, il ne sait pas ce qu’il aime. Il aime la solitude mais ne passe jamais inaperçu dans la foule. Les cours lui ont toujours paru dénués d’intérêt, mais il attache cependant beaucoup d’importance à l’apprentissage des autres. Il ne leur parle pas, non, ou du moins pas tant qu’il ne les connaît pas. Il les observe, longuement, caché derrière son visage impassible et son regard mystérieux. Il souffre. Mais il a tellement souffert qu’il ne s’en rend même pas compte. Il aime souffrir. Ça lui apporte un certain réconfort. Intérieurement, et extérieurement. Il n’a peur de rien et de personne. Ou presque.
La plupart des gens n’osent pas l’approcher de peur de ce qui pourrait arriver si leur regard croisait le sien. Sachiro plait et il le sait très bien. Il utilise souvent ce charme mystérieux pour séduire ses victimes.

Si on vous dit le p'tit Ogawa? Tout le monde vous dira que derrière ce sourire d'ange, le petit a du caractère. En plus on dit petit mais tout de même un mètre soixante quinze. Des mots pour le décrire ?
Excentrique. Colérique. Menteur. Voyou. Grande gueule. Sure de soi.
Excentrique ? Il suffit de le regarder. Toujours quelque chose pour se démarquer par rapport aux autres, un look décalé, des cheveux qui sont souvent roux quand ils ne sont pas bruns, un regard plein de malice, mais aussi
ça façon d'être, tout de lui dégage une excentricité certaine.
Colérique.
Ah ça oui il l'est, capable de tout casser autour de lui quand il s'énerve, et il s'énerve souvent le gamin. D'ailleurs une chose est sûr, avec lui n'essayait pas d'avoir raison, car vous aurez tort, d'ailleurs il est aussi têtu qu'un âne pour tous vous dire. Pour lui il a toujours raison, il est la voix de la sagesse.

Menteur.
Oui il met souvent pour sauver sa peau, pour éviter les ennuis, car il n’a pas envie de dire la vérité, toute les excuses sont bonnes pour lui pour éviter de dire la vérité, à tel point qu'on se demande vraiment qui il est, et si ce qu'on sait de lui ce n'est pas faux, ça lui entretient une part de mystère. Mais bon, il ne ment pas vraiment à son groupe, c’est tout le contraire. Car avec celui-ci, il joue un peu le rôle de grand frère étant le plus vieux, un grand frère un peu violent, mais un grand frère tout de même. Voyou. Oui c'est un voyou, toujours fourré dans des ennuis pas possible, à chercher rancune aux gens, comme si les histoires de la vie courant ne lui suffisaient plus, mais comme la plupart des voyous il s'en sort souvent voir toujours sans mal.

Grande Gueule.
Il dit ce qu'il pense. Un paradoxe avec les mensonges, en fait on peut dire qu'il ne ment pas que quand il s'agit de l'ouvrir pour critiquer, pire qu'une fille, c'est une vraie langue de vipère. Sûre de soi. Eh bien il n'y pas mieux que lui, il se croit très supérieur aux autres d'où son caractère et ça se voit dans sa façon d'être. On dirait vraiment qu'il ne craint rien, mais alors rien du tout. Des fois il en devient même inconscient. Mais il n'y a pas que du mal en lui. Par exemple si vous arrivez à lui prouver que vous êtes son égal, vous êtes sur de le voir sourire encore plus que d'habitude, mais surtout il ne vous lâchera pas. Pour lui l'amitié c'est sacré, surtout que ça se mérite. Il ne devient pas ami avec n'importe qui, il faut qu'on lui prouve qu'on tient à lui et qu'il peut avoir confiance et son groupe lui a prouvé. D’ailleurs chose étonnante il n’a jamais remis en question que ce soit le plus qui soit leader…

Comment voulez vous parlez tranquillement avec une personne qui d’une seconde à l’autre peu vous sauter à la gorge ? C’est une très bonne question à vrai dire !
Sachiro est très impulsif. Et en plus de cela, il se laisse allez très vite à la violence. C’est un jeune homme qu’il ne faut pas emmerde, surtout pas, si vous voulez garder votre face intacte.
En plus de cela, pour ravir sa personnalité, il est franc. Voir même trop franc. Il dira cash ce qu’il pense à qui que se soit (la plupart du temps). Vous lui offrez quelque chose ? Monsieur n’est pas content. Déjà, il ne faut pas s’en donner la peine, car, si vous lui offrez quelque chose, il ne va pas le vouloir. Mais si vous ne pensez pas à lui, il va se vexer. Et si en plus, il accepte le cadeau (toujours avec froideur !) si en plus ce qu’il y a dans le paquet cadeau, ne vous attendez pas à de la comédie ! A ça non ! Loin de là, ce n’est pas le genre de ce jeune homme. Il vous dira net ce qu’il pense de votre surprise. Et souvent, sa ne lui plait pas, bien évidemment.
C’est une personne qui possède un caractère bien trempé et très complexe. Déjà qu’en soit même l’humain est complexe, avec Sachiro, pour atteignait le plafond de la complexité même ! Par exemple, il a une façon bien à lui d’être rancunier. Vous lui faite une chose pas forcément cool. Pendant un jour, il vous vous ferra la « gueule », il travaillera avec vous, niveau professionnel, rien de plus. Si vous étiez ami(e) avec lui, ne vous attendez pas à ce que vos relations soit les même ! Le lendemain, hop, il a tout oublié. Ou du moins, c’est ce qu’il laisse croire. Car, si dans un an, vous lui refaite un autre coup. Il peut vous re-balancer dans votre face ce « geste pas cool » qui vous lui avait fait, dont vous croyiez qu’il vous avez pardonné. Il faut savoir, que le jeune homme, ne pardonne jamais, jamais ! Entièrement, dans la totalité de la chose.

Et puis faut savoir, que le jeune homme aurait pu très bien devenir comédien. Il se donne une image, calme et posée, tranquille, quelqu’un qui ne se prends pas la tête, mais de nature très calculateur et manipulateur, il fait ces choses sans même sans rendre compte, c’est après, quand il à réussi la chose qu’il voulait, qu’il se rend compte de ses gestes. Les regrettant plus ou moins, voir pas du tout. Cependant Sachiro est quelqu’un de très lunatique. Calme et souriant, et soudainement très violent. Mais, il en reste la plupart du temps à jouer à la petite poupée souriante, de bonne humeur, naïve, et gentille. Idiote et attachante, avec un sourire à faire fondre. Pourquoi ? Car vous feriez confiance au plus vil des manipulateurs ? A un monstre ? Non, bien sûr que non … Alors voilà.

Mais ce caractère de merde – il faut bien le dire – il le met de côté, en apparence. Il à l’air calme, posé, inoffensif. Mais venez donc le titiller. C’est son poing dans votre gueule.

Ah oui. Il est schizophrène.

Hobbie : Il aime beaucoup la photo. La mode. La couture. Et aussi la musique. Il aime dessiner tout et n'importe quoi et plus précisément des tenues. Qu'ensuite il confectionnera avec beaucoup de soin. Puis ensuite il trouve quelqu'un pour porter ses tenues, et prends des photos. Car il voulait percer dans ce milieu. Et il y parviendra, coûte que coûte. Ce sont dans ces moments que Sachiro est calme et concentré, lui qui est d'habitude si violent.
Il joue de la guitare sèche principalement, et le piano.

◘ PLUS

ADRESSE MSN : Psychedelic__herOine@hotmail.jp
NUMÉRO DE PORTABLE : 011-246-0369
COULEUR PRÉFÉRÉ : Turquoise
FRIANDISE PRÉFÉRÉ : Sucette à L'Orange
PLAT PRÉFÉRÉ : Poulet Columbo accompagné de Riz & Soupe Miso <3
CITATION FAVORITE : Oh My God ? XD
PLUS GRAND SECRET : C'est secret ...
RELATION : Petit ami de Kazu-Chan <3
Kazuko Oishii… Leur rencontre était digne d’un feuilleton télévisé. C’était au lycée, en bas des escaliers. L’attention de Sachiro avait été attirée par un bruit. Il avait tournée la tête, et vis ce petit jeune homme blond, qui venait de faire tomber ce qu’il tenait entre ses bras. Feuilles de cours, manuel, stylo, … Voyant que cela s’était éparpillé un peu partout, et que personne venait l’aider, Sachiro se sentit obligé d’y aller. Il alla pour attraper un objet. Bizarrement ce fut la main de jeune maladroit qu’il toucha. Cette situation fessait assez cliché, mais c’était ce qui s’était passé. Il l’aida donc, et échangea quelques mots avec le jeune nippon.
Cependant quelques jours après, le destin (ou le hasard) voulu que leurs chemins se recroisèrent. […]
A la fête foraine. Ils viennent de sortir du Palais des glaces et Kazu-chan s'est mangé plusieurs fois les vitres en essayant de trouver la sortie. Alors, pour lui faire oublier son mal de tête, Sachiro lui offre une barbe à papa. Au bout d'un moment Sachi se rend compte qu'il lui en reste un peu au coin des lèvres, il se penche pour la faire disparaître d'un doigt et pouf, il l'embrasse <3
Depuis ce moment, il se fit plus ou moins, naturellement que les deux étaient ensemble. Ils sortaient, lorsqu’ils en avaient l’occasion, et Sachiro était tout gentil avec Kazu-Chan <3

◘ DERRIÈRE TON PC

PSEUDO : Barbie
ÂGE : Merde.
COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? : Kazuko <3
VOTRE AVIS SUR LE DESIGN : Magnifique <3
VOTRE AVIS SUR LE FORUM : Sympathique <3
FRÉQUENCE DE CONNEXION : Mercredi & week-end, en Période Scolaire.
PERSONNALITÉ SUR L'AVATAR : Tsukasa - D'espairsRay, Normalement. L'avatar arrive

Invité

Welcome Baby ♥
Je vais me hâter de terminer ma fiche x"3

Invité

Thanks Darling <3
Yaaay =] XD

Tu me préviens quand ta fiche sera terminé ? (Même si je doute qu'elle le soit déjà x.X)
Bienvenuuue ♥

Invité

Merci <3

Bah Le Caractère / Physique / Histoire sont finis, mais il me manque La Famille & Les Relations <3
Et je Te Dirais quand j'aurais Finiiiis <3

Invité

J'ai Finiiiis <3

Oukay Validé et rien à redire ! =)

Waaa! =O Dis donc, tu ne manques pas d'inspiration toi quand tu écris!!
Bienvenue =)!!

Invité

Thanks <3

» Bonjour et Aurevoir [Sachiro]