Fiche Type

Résumé:

... Je pensais que ma vie allait se révéler très rapidement monotone, que le train train quotidien allait très vite prendre le dessus et que j’allais rapidement regretter mon choix. Et pourtant je n’imaginais pas un instant qu’en arrivant ici, ma vie allait prendre un tel tournant. Je n’imaginais pas qu’au moment où l’avion se posait sur le sol, mon existence prenait un virage bien différent de ce qui, aurait pu être, si j’étais restée vivre à Phoenix auprès de ma mère.

La vie recèle des surprises ?! Oui c’est vrai, mais la mort aussi… Vous vous demandez certainement ce que j’entends par là ? Et bien c’est un peu compliqué de vous expliquer cela de but en blanc. Vampire, loup-garou, voilà de quoi je veux parler. Je veux vous parler de la famille Cullen, de Jacob Black, je veux vous parler d’Edward, et… et je veux vous parler de moi… C’est un peu confus n’est-ce pas ? Pourtant je vous parle de ce qui fais aujourd’hui toute ma vie, je vous parle de mon mari, mon meilleur ami, de ma nouvelle famille et de ceux qui ont fais de moi ce que je suis et serais pour l’éternité...

Nozomi Keimusho

Tokyo, grande ville où tout le monde rêve d’habiter. Ville merveilleuse…
Merveilleuse ? Non pas complètement, toutes les villes ne sont par parfaites, il y a toujours quelque chose qui ne va pas et pour Tokyo ce sont les délinquants. Depuis quelques années, le nombre de délinquant augmente. Heureusement, ce ne sont pas des criminels ou cambrioleurs de banques non juste des délinquants qui mènent la vie dure aux policiers de la ville.

Alors que l’un des plus grand gang sème la terreur dans un quartier de Tokyo, certains se font arrêter par les policiers. La plupart sont des jeunes, jeunes qui ne font rien de leur vie et qui n’ont pas fait grand-chose de méchant… Voyant en même temps la jeunesse de Tokyo mal tourné, une grande réunion des représentants de la justice se réunissent et après de nombreux débats, ils décidèrent d’ouvrir un centre spécialisé. Après deux ans de chantier, le centre ouvre enfin ses portes.

La particularité de ce centre, remettre dans le droit chemin les jeunes de 16 à 25 ans qui ont été mit en justice. Oui, on ne peut pas les envoyer en prison, ce ne sont pas des criminels, ils ont juste déclenché des bagarres, été en possession de drogue, volé un sac à main ou frappé un professeur, actes non acceptables pour la justice mais ce n’est pas assez pour les envoyer en prison, fasse à des criminels. Comment faire allez vous me dire ? L’école ne sert à rien, ils ne travailleront pas… Après réflexion, on décida de faire travailler ces jeunes, ils choisiront eux même le métier qu’ils souhaitent et pendant leur temps libre, ils resteront au centre qui sera en quelque sorte leur dortoir…

Peut être que cela ne va pas marché pour certains délinquants, mais la jeunesse n’était-elle pas notre avenir ?
Un nouvel espoir va peut être naître…

Nous sommes en 2008, et c’est en se réveillant un bon matin que Monsieur Kozama se décida. Se sera une école de perfection disait-il. Cette homme avait grandit dans le Japon Novateur. A l’époque où les styles avaient pris forme dans la rue et étaient doucement devenus célèbres à travers le monde. Etant un grand friand de cette idée, il décida à en faire une école. Le principe était des plus simples, l’université se trouverait en plein cœur de Tôkyô la ville au merveille. Dans celle-ci il y prendrait des élèves aux facultés différentes : allant du jeune élève plongés dans ses bouquins aux musiciens électroniques par son style plastique. Dans l’esprit de l’homme, cela serait un moyen pour montrer au monde comme les gens, même s’ils ont des idées différentes, peuvent vivre en toute harmonie.
Une idée probablement un peu trop utopique. Cette les premiers jours de rentrée, ce fut parfait. Monsieur Kozama souriait assit dans son bureau. Cependant, les jours passèrent et les élèves se séparèrent. Formant alors quatre groupes distincts. C’est ainsi que les douces paroles de bienvenue se transformèrent en insultes et que la disparité prit place dans les couleurs de l’université Kyoutsuu.

C’est ainsi qu’un rêve heureux devint un cauchemar. Serez-vous capable de changer le cours de chose ? Ou bien de l’aggraver encore plus afin d’assouvir votre but ?

« Je me souviens du premier jour, je me souviens de tout. La gare était vraiment différente de celle de Tokyo: elle était pratiquement déserte et étrangement lumineuse. Une lumière agréable. Je restais dans mon coin timidement. Aucun d'entre nous ne se connaissait. Je pense que personne n'aurait imaginé que nous deviendrions des amis inséparables ! Et pourtant.
Un animateur, d'une vingtaine d'années est venu nous chercher et nous a emmené jusqu'au camp. Ma seconde maison. La plage étaient à quelques pas; la mer léchait le sable blanc. Derrière les villas, si je peux appeler nos chambres ainsi, s'étendait une forêt étrangement attirante. Au loin, se trouvaient de hautes montagnes aux sommets couverts de neige. C'était un de ces endroits magiques dont je rêvais depuis longtemps.
Mes premières vacances à Neverland furent les plus belles de ma vie. Je faisais parti d'un des nombreux clubs qui font bouger le camp, celui des Arts Scéniques. J'adore chanter depuis toute petite et je me suis vraiment éclatée. J'ai même donné un concert le dernier jour ! Un jour mémorable. Nous avions quitté la fête avec mes amis pour se réfugier dans la prairie que nous avions découvert quelques jours plus tôt -trop tard à mon goût. Je n'ai pas vu le temps passer...
Neverland, je n'en ai pas fini avec toi.
A jamais. »

« Nous sommes en 2005, à Tokyo, la grande capitale du Japon. Une grande école nommée Eitoku accueil des jeunes de familles aisées. Cette école est très prestigieuse. Les élèves qui y étudient réussissent toujours à monter au sommet de leur carrière. Avocat ? Médecin ? Chef d'une grande entreprise ? Des rêves nombreux et souvent réalisés. Si ce n'est qu'un petit problème. Lequel ? Pourtant cette école est gigantesque et il y a pleins de possibilités d'études. Les professeurs qui y travaillent sont réputés. Une école parfaite !

Hélas tout ne se passe pas comme prévu dans cette école d'apparence parfaite, dont tout le monde parle et où tout le monde à envie d'aller. Deux groupes différents la contrôlent. Le F4 et le D4. Ce sont deux groupes rivaux depuis le jardin d'enfance. F4 signifie 4 Flowers et D4 signifie 4 Devils. C'est deux groupes de garçons très riches et puissants. Le F4 est composé de Tsukasa Dômyôji, Hanazawa Rui, Nishikado Sôjirô, Mimasaka Akira. Le D4 est composé quant lui de Jung Yunho, Han Meh Yoo, Hee Ji Lee et Kim Jaejoong. Ces deux groupes sont craints et admirés des élèves de Eitoku, pourquoi ? Ils sont beaux, forts, intelligents et puissants. Mais ils sont cruels et violents. Si un élève a le malheur de ne pas leur plaire, s'il les regarde mal ou trébuche sur eux, le D4 ou le F4 (ça dépend sur qui il tombe) se chargera de lui faire vivre un enfer jusqu'à se qu'il décide de quitter l'école. En contrôlant l'école, c'est comme si ils se préparaient à mener leurs futurs entreprises, c'est une sorte d'entraînement.

Si un élève reçoit un carton rouge dans son casier, ça veut dire qu'il a reçut une déclaration de guerre du F4 et si c'est un carton bleu, c'est une déclaration de guerre du D4. Qui survivra dans cette école ? Réussirez-vous à avoir votre diplôme avant que le D4 ou le F4 ne se charge de vous ? Ou découvrirez-vous le sens caché de leurs actions ? Découvrirez-vous leur vrai visage ? Incarnez un élève de l'école, étudiez et évitez les embrouilles, ou sautez dedans à pieds joints.

Peu de temps après, un groupe fait surface. Eitoku est désormais divisé en 3 clans dont l'un reste mystérieux et secret. Les yakuzas, la mafia japonaise, du Japon inscrivent discrètement leurs enfants dans la célèbre école qui deviendra très vite un vrai champ de bataille où seuls les plus forts et les plus rusés arriveront à se frayer un chemin à travers ces amas de corps sanglants. Que dis-je ? Eitoku ne deviendra pas un vrai champ de bataille ! Loin de là ! Un endroit juste un peu moins sûr. Pourquoi ? Des viols. Agressions. Vols. Les élèves dégustent, surtout les faibles. Même le F4 et le D4 sont victimes de menaces.

« Eitoku Gakuen n'est plus sûr messieux, faites attention, vous risquerez de vous faire piétiner comme tous vos camarades. Après tout, vous n'êtes que similaires à ces riches imbus de leurs personnes. Notre heure de gloire est arrivée. Vous payerez à un moment où à un autre votre chère misérable existance dans ce monde remplit de faibles.»

Ce message fut envoyé à chacun des membres. La rumeur comme quoi le D4 et le F4 se trouvent confrontés à un clan secret et dangereux se propagea vite. Que faire contre ça ? Des yakuzas qui menaçent les deux célèbres groupes ? Le pire est que personne ne peut les combattre. Ils sont aussi invisibles que de la poussière dans le noir. Aussi rusés que des renards. Aussi craints que les monstres par les enfants. Il n'y a que le D4 et le F4 qui osent comploter. Ces courageux élèves munis d'uniquement leur courage et leurs relations (et de leur argent) qui vont enquêter avec l'aide d'autres élèves sur ce nouveau 'groupe'. Vont-ils réussir ? Les Yakuzas seront-ils découverts ? Qu'arrivera-t-il à Eitoku si ces agressions ne sont pas stoppées ? Participez à cette guerre entre élèves où votre vie même peut être en jeu et où vos talents pourraient être demandés... »

La Grande République d'Asie, organisée selon un régime totalitaire, a mis en application le « Programme 68 ». Celui-ci consiste à tirer au sort chaque année une classe de collégiens. Placés sur une île coupée du monde, ils doivent se battre et s'entretuer jusqu'à ce qu'il n'y ait plus qu'un seul survivant. Une course contre la mort s'engage pour les 42 élèves de 3ème B du collège municipal de Shiroiwa. Ceci afin de servir d’exemple à la population, à la jeunesse particulièrement, et aussi de recueillir des statistiques sur le temps mis par le champion à éliminer ses camarades.

Dans ce contexte où l'on ne peut avoir confiance en personne, la seule solution reste la mort... ou le meurtre. Face à ce Programme, chaque élève devra faire face à ses amis d'hier, et accepter sa nature profonde. C'est ainsi que certains élèves jouent le jeu [par peur, par cynisme ou par plaisir, les raisons varient], tandis que d’autres tentent de s’allier et de trouver un moyen d’éviter le carnage. Le décompte commence !