Un renégat en plus ( libre )

Invité

Hiro, arriver seul avec comme seul bagage ce qu'il avait sur lui. En
fait ses vêtements arriverait plus tard, par son ancien foyer.
Lui arrivait sur sa moto, habiller comme sur son avatar, sauf qu'il portait un casque noirs avec des flammes rouges. Enfin,
arrivant en moto sur le parking, il posa pied au sol, et éteignit le
moteur de sa moto. Enlevant son casque, il marcha en direction du Grand
Hall, il y entra, sa le changeait du foyer.Enfin, il observa les
gens passer, et ria un peu, continuant de marcher, il mit ses
écouteurs, et commença à écouter un groupe de rock assez lunatique.Enfin,
continuant d'écouter sa musique, quelqu'un vint l'interompre lui
demandant d'ôter son MP3, il refusa, et l'homme un peu énerver s'en
alla lui rabachant que l'année commençait mal pour le jeune homme.Ceci
dit il s'en fichait un peu, c'était sa soit disant dernière chance,
mais il n'en avait que faire, tous ce qu'il voulait s'était sortir
d'ici le plus vite possible, le calvaire commençait déjà, et Hiro
commençait déjà à ressentir au plus profond de lui un ennuis redoutable.

Enfin, voulant un peu se détendre, il se mit dans un petit coin du hall, puis commença à faire un peu de Tai Chi chuan, pour écarter les ondes négatives, et lui apporter un peu de positivité dans la journée. Enfin, il entendit quelques choses ou quelqu'un derrière lui.

Même si elle ne laissait rien paraître, Uzume en avait assez. Tout ces regards qui s'arrêtaient sur elle, toutes ces moqueries et paroles mauvaises qu'elle se devait de subir chaque journée de lycée...Et ce dès son arrivée. Comment maintenant par exemple. D'accord, elle était différente sur bien des points. Elle ne customisait pas son uniforme avec tous ces petits gadgets purement féminins mais avec quelques grigris, charmes protecteurs ou poupées éloignants les mauvais esprits. Certes, son regard était sombre et ses longs cheveux noirs flottant au vent lui donnaient un air de Sadako mais elle n'y pouvait rien! Elle ne pouvait défaire ce que la nature lui avait offert. Se coiffer? Pourquoi pas mais elle n'avait jamais le temps de le faire le matin. Pourtant habituée à se lever tôt, la demoiselle avait toujours du mal à être entièrement performante après son réveil. Elle fonctionnait donc au ralentit. Uzume mettait donc un temps fout à juste faire sa toilette, s'habiller, manger et faire son sac. Coiffer sa tignasse lui aurait prit des minutes si précieuse. Surtout qu'elle manquait toujours d'arriver en retard. Tout les matins, elle se devait de partir en courant pour rattraper son bus et quand elle le manquait, elle avait droit à une course effrené de sa maison au lycée. Comme aujourd'hui d'ailleurs. Outre son accoutrement qui laissait à désirer, elle était toute haletante. Oh, la jeune fille était sportive mais quand elle était pressée, elle oubliait bien souvent de respirer pendant ses intentenses efforts. Elle n'avait pas le temps d'y penser, elle n'avait qu'en tête d'arriver à l'heure au lycée. Les exercices imposés aux élèves en retard ne la gênait aucunement mais elle manquait alors une partie des cours. Ne réussissant ses études que parce-qu'elle avait une assez bonne mémoire auditive, elle ne pouvait se permettre d'en rater. Non, elle n'était pas une excellente étudiante. Loin d'être idiote, elle ne se fiait qu'à son immense culture. De plus, elle avait du mal à ressortir sur papier ce qu'elle avait en tête. Elle n'était pas faite pour l'école de toute façon. Elle l'avait su bien avant d'y aller.

Suivant la masse d'élèves entrant dans le lycée, la demoiselle fut rapidement face à son casier. Bon, qu'allait t'elle trouver aujourd'hui? Ue poupée pendue? Des punaises? Des messages de morts? Uzume avait l'habitude qu'on lui fasse de sales coups. Dire qu'elle s'en moquait serait mentir mais elle avait prit l'habitude. Avec une prudence exagérée, elle ouvrit la porte et se risqua à jeter un coup d'oeil à l'intérieur. Tiens...Rien même pas un papier. Etonnant. Oh non, elle n'allait pas s'en plaindre! Plutôt contente qu'on la laisse tranquille au moins une journée, elle ota ses chaussures d'un air assez guillerets. Elle eu à peine enfiler un de ses chaussons qu'un camarade de classe lui prit le second et le jeta aussi loin qu'il le put. Après quelques menaces de visites nocturnes des plus étranges qui firent blanchir son harceleur, la jeune fille partit recupérer ce qui lui appartenait. Celui-ci était tombé à côté d'un camarade s'amusant à faire du Tai chi en plein dans le lycée. Quelle drôle d'idée tiens! Jamais Uzume ne se serait exercés à ses arts-martiaux ici. AH...Il devait faire ça pour impressioner les autres. Si cela marchait sur ses camarades, Uzume restait de marbre.

"Soit plus fluide."

Invité

Hiro n'avait pas pris part au fait qui venait de se produire...
Il n'avait pas remarquer l'étudiant embêter la jeune fille, en plein dans sa concentration même le son d'une mouche vire-voltant autour de sa tête n'avait pu le dégager de sa profonde concentration et son moment de détente.
Cependant, des pas plutôt lourd l'avait un peu sortie de son moment de pur bonheur.
Il entendit ensuite une voix, qui lui indiquait d'être plus fluide. Ses yeux alors fermer s'entre-ouvrir, pour laisser place à ses pupilles un peu dilaté par l'effort mental.

La personne en façe de lui était une femme peu commun, il avait entendu parler d'elle dans les couloirs comme une Sorcière ou une bannis, à l'apparence repoussante, par ses habits, il ne l'a trouvait pas pour autant laide. Elle avait son style, certe bien des femmes étaient plus attirante, mais elle était aussi de petit mouton qui suivait le berger appeler dans ce cas là : la mode...

Stoppant ses mouvements, il devint droit, de posture bien entendu.
Observant la personne qui lui avait adresser la parole, il ne dit pas un mot, avec un aspect tel un samouraï, il avait la main sur le côté sur un foureaux imaginaire, et son deuxieme bras au niveau de son torse, comme pour parer un coup éventuel. C'était une posture qu'on lui avait enseigner en combat.

Pour répondre à la femme qui lui avait adresser la parole, il dit simplement d'un air de conseil, avec une voix généreuse et aimable, tel un Maître qui parlait à son élève :

L'on n'entrave pas la concentration d'un Tai Chi, sauf si l'on souhaite l'offenser ...

Observant la femme, il baissa la tête en signe de salue pour ensuite faire le salue du à toutes personnes, comme font les Judoka à la télé... Puis lança :

Je me Nomme Hiro...

Haruo arrivait devant l’école, rien que de penser au cours ça ne lui donnait pas tellement envie, mais bon il était bien obliger d’y aller. Donc, il était resté pendant quelques secondes devant l’école, le temps de ranger son casque dans le siège de sa jolie petite moto et de mettre l’antivol. Que de précaution, vous me direz mais ça coûtait assez chère une moto et comme c’était un cadeau de son grand frère donc raison de plus pour ne pas se la faire prendre ou autre. Donc une fois toute ses petites précautions prises le jeune homme aux allures androgyne entre dans le hall de l’école. Seulement quelques secondes après que des élèves se soient amusés encore une fois à embêter Uzume et qu’un élève est jeter ses affaires au loin. Puis que celle-ci lui est lancée quelques petites menaces. Haruo était passé à son casier, histoire de changer les affaires de cours qu’il y avait dans son sac. Une fois que ça c’était fait, il referme son casier tranquillement, puis il s’avance dans le couloir, jusqu’à apercevoir deux silhouettes au loin. Comme c’était sur son chemin, le jeune homme continue à avancer vers eux jusqu’à reconnaître Uzume qui avait pris pour habitude de lui prédire l’avenir et autres petites choses insignifiantes.

Une fois qu’il arrive à bonne hauteur des deux personnes, c'est-à-dire quelques mètres, il s’appuis contre un mur et regarde la scène. L’inconnu venait de faire des gestes à la mnière des Samouraïs dans les films, puis ensuite il s’était adressé à la demoiselle d’une voix qui se voulait généreuse et aimable apparemment. Bref, il lui avait fait un petit sermon du point de vue de Haruo qui n’avait pas suivi ce qui c’était passé avant. En tout cas maintenant il était curieux de savoir la réaction de la jeune fille. Alors il restait là, appuyé dos au mur à les regardé, en attendant et en oubliant même les cours. Son regard c’était attardé un moment sur Uzume, et seulement elle, il est vrai que la jeune fille était bizarre au plus haut point. Mais Haruo se disait que c’était sans doute parce qu’elle n’avait pas le même mode de vie qu’eux. Bref, après quelques secondes d’observation du « cas » Uzume, Haruo se remet à fixer l’inconnu qui était avec la jeune fille en silence.

Ridicule...Uzume avait été élevée dans un univers moyen-ageux. Outres les aspects religieux qu'elle avait du apprendre, on lui avait enseigné de nombreux arts martiaux. Il fallait dire aussi qu'avec un père expert dans ces domaines et un grand-père maternel maître et les enseignant, elle n'avait pu y échapper. Vieux jeu? Oui, cela devait l'être pour une personne extérieur au monde de la demoiselle et habitué à la modernitée. La vie de la demoiselle était telle un de ses films chinois. À la différence que personnes ne volaient dans les airs. Enfin bref...Pour en revenir à la situation. L'élève trouvait que son camarade en faisait trop. Un incompétent. Les arts-martiaux ne demandaient pas à se faire voir. La discrétion et la modestie était maîtres mots. On le lui avait bien assez répété. De plus, parler tel que le faisait le jeune homme était en face d'elle était grotesque. Il devait avoir visionné bien trop de films de samouraï. Encore un de ces adolescents pensant que se tenir droit et avoir une manière de parler aussi pathétique faisait tout. D'accord, il semblait avoir quelques acquis mais peut-être les avaient t'il appris dans un quelconque livres? Mauvaise? Peut-être mais Uzume détestait qu'on lui dise quoi que ce soit sur un domaine lui étant plus que familier. Elle haïssait aussi qu'on puisse tourner au ridicule ce qu'elle aimait le plus. Ah oui! La jeune fille ne pouvait aussi supporter qu'on puisse essayer de se faire voir. Bien de choses peu apprécier en si peu de temps. La journée démarrait bien!

"On n'entrave...L'on n'entrave pas est incorrect."

Les fautes de langages...Bien trop courantes pour énerver la demoiselle. Elle avait l'habitude. Que cela vienne de ses camarades ou de simples rencontres, elle en entendait bien trop souvent. Elle n'y faisait donc plus attention. Uzume évitait d'en faire. Evidemment, n'étant pas parfaite, elle en commettait parfois des erreurs mais elles étaient bien entendu assez rares. Du moins, elle l'espérait.

"Uzume Kakashi....Mishima! Ton aura est mauvaise aujourd'hui...Tu me glacerais le sang si je n'étais habituée à fréquenter des esprits plus terrifiants."

Invité

Enchantée...

Dit il simplement en réponse à sa présentation...
Peu lui importait ce que la femme pensait de lui, il n'était pas du genre à se présenter au yeux de tous le monde...
Simplement les Arts martiaux pour lui était une manière de vivre, et il priait tous les jours pour ses ancêtres. De la même ligner que Miyamoto Musashi il était, et il se devait de l'honorer. Cependant, il n'était pas aussi mistique que la jeune femme pour les auras, ignorant tout, il était simplement un conservateur. Même dans ce monde moderne, pour lui les Samouraïs on une place certaine. C'est tous ce qu'on lui avait enseigner.
Si la femme avait pu le remarquer il portait même un sabre qui était accrocher à son Sac de vêtements qu'il comptait emporter chez lui par la suite.
Enfin, continuant de dévisager la personne en façe de lui, l'homme qui les observaient ne lui échappa pas.

Pardonnez mes fautes, le langage a pour moi bien des mystères... Je n'ai pas pour habitude de parler cette langue...

En effet, l'homme parlait à son habitude le Japonais ryukyu, avec un autres types d'accents, et d'autres types de phrases.
Cependant, il fut interloquer par la fin de sa seconde Phrase :

Citation :: "Ton aura est mauvaise aujourd'hui...Tu me glacerais le sang si je n'étais habituée à fréquenter des esprits plus terrifiants."

Continuant d'observer autour de lui, mais ne sachant pas qu'elle se faisait harceler sous de mauvais prétexte d'adolescent se croyant supérieur à elle, il lâcha simplement :

La seule chose possible, c'est d'essayer de s'améliorer soi-même, en espérant que les autres fassent la même démarche. Le monde ira mieux alors.

Il était donc là à observé les deux personnes, maintenant Uzume s’était mise à faire la morale au jeune homme en quelque sorte. C’est vrai que pour elle qui a toujours été élevé dans un univers différents. Quelqu’un qui ne parle pas bien, ce n’est pas vraiment bien vu. Bref, le jeune homme à qui Uzume parlait s’était excusé en disant qu’il n’avait pas pour habitude de parler cette langue. Bah ! Haruo pensait que maintenant qu’il était ici, il allait devoir s’habituer à parler comme ça, sinon il allait souvent se faire reprendre. Et pas que par Uzume-chan. Bref, ensuite comme d’habitude Haruo fut surpris, la jeune fille s’était adressée à lui en lui disant que son aura était mauvaise aujourd’hui. Donc, elle avait remarqué sa présence, il n’en avait pas moins attendu d’elle, mais il était quand même surpris. Il se décolle donc du mur auquel il était appuyé depuis quelques minutes, puis il se dirige vers les deux personnes. Une fois près de Uzume, il dit d’un ton sobre.

« Décidément, tu me surprendra toujours Kakashi … Comment as-tu devinée que c’était moi ? »

C’était vraiment une question qu’il se posait, comment elle pouvait devinée aussi facilement qu’il s’agissait de lui et pas d’un autre. Peut-être qu’elle ne lui expliquerais pas en fait, mais ce n’était pas grave. Toute son attention était maintenant portée sur la jeune femme. Il attendait simplement qu’elle lui réponde une chose ou une autre. Si bien qu’il ne calculait pas tellement le jeune homme qui lui était inconnu. Et puis, il faisait comme ça d’habitude, les gens inconnus il s’en fichait royalement, Haruo n’avais qu’un petit cercle de connaissance, mais ça lui suffisait amplement.

Enchanté...enchanté...Il allait bien vite déchanté. Même si on trouvait la jeune fille forte sympathique aux premiers abords, elle avait tôt fait d'agacer ou de mettre mal à l'aise ses interlocuteurs. Rien de bien surprenant avec ses airs de fantômes de contes chinois et ses paroles dérangeantes. Uzume ne gardait que peu de temps une personne en face d'elle ou proche d'elle. Sauf en cours évidemment, ses camarades ne pouvaient faire autrement malheureusement. La demoiselle trouvait cela fort dommage. Certes, elle était légèrement effrayante mais cela ne voulait pas dire qu'elle était inintéressante et encore moins dangereuses. Les gens étaient bien trop superficiels et peureux. La jeune fille n'appréciaient guère ces défauts. Elle qui acceptait n'importe qui et ne s'effrayait jamais de rien! Si elle haïssait les personnes ayant ses caractéristiques? Aucunement! Uzume n'en voulait à quiconque. Même quand elle s'énervait ou se chamaillait, elle ne gardait aucunes rancoeurs. La rancune ne servait à rien sauf à pervertir le coeur des Hommes.
Enfin bref...Cesse de bavardages. En ce moment même, elle se demandait combien de temps son camarade "spécialiste en arts-martiaux" allait rester en face d'elle. Haruo? Il devait avoir l'habitude de Uzume. Après tout, elle avait tendance à le suivre de partout pour surgir quand il s'y attendait le moins.

"Les cours de japonais te seront alors bénéfiques. Je te conseillerais d'éviter de les sécher si tu ne sais t'exprimer sans difficultés."

Ah non, elle ne le disait pas méchamment. La demoiselle n'était pas une peste! Sauf avec certaines personnes et ce n'était qu'un jeu. Par exemple avec Haruo. Elle était assez contente qu'il soit là. Uzume n'aurait alors pas à le recherche pour l'effrayer. En parlant de ce dernier, sa phrase fit germer un sourire malicieux sur le visage de la jeune fille. Comment elle l'avait vu? Son aura bien sûr! Trêve de plaisanterie. Cet idiot se reflétait dans une vitre en face de la demoiselle. Il manquait franchement d'observation.

"Je sais toujours tout."

Son regard n'avait pas bouger. Elle fixait toujours sa nouvelle rencontre. Après tout, elle allait lui parler d'ici peu alors autant ne pas se fatiguer à tourner la tête.

"Changer? Je m'accepte comme je suis, c'est le principale."

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