Balade en forêt [Ayumi]

Ce soir le jeune homme devait retrouver Ayumi pour une sortie dans la forêt. Ils en avaient parlés la veille par MSN, et celle-ci lorsqu’il lui avait proposé la forêt comme point de rencontre avait été un peu méfiante et pourtant Haruo n’avait vraiment pas pensé à mal. Et par la suite, elle avait accepté cet endroit, car après tout si il aurait eu de mauvaises pensées que ce soit dans la forêt où ailleurs il lui aurait fait du mal, mais ce n’était pas du tout le cas. Donc, sa journée s’était passée tranquillement, une journée ordinaire, et là maintenant, il était en train de se préparé pour rejoindre le point de rendez-vous qu’il avait fixé avec Ayumi. Il avait chercher pendant une bonne demi-heure ce qu’il allait se mettre, parce que mine de rien il ne voulais pas ressembler à n’importe quoi même si c’était juste une sortie comme ça, il ne voulais pas faire mauvaise impression.

Une fois près, il était sorti de chez lui, et hop ! Direction la forêt, il y était aller par ses propres moyens encore une fois, mais bon comme cette fois-ci le lieux de rencontre était un peu loin de chez lui, il était reparti dans l’autre sens et était aller prendre sa moto parce que cette fois-ci, il avait choisi la facilité dans son moyen de transport. Bref, il était donc rentré de nouveau chez lui, était passer prendre son casque et ensuite était ressorti prendre sa moto, et au cas où il en avait mis un autre dans la moto parce qu’on ne sait jamais. Puis ensuite, il avait pris la route en direction de la forêt, il avait mis quelques minutes pour y aller quand même. Maintenant il attendait la jeune fille à l’entrée de la forêt, n’ayant rien d’autre à faire que ça en fait.

Le temps parait bien plus long quand on attends, une minute ça parait être beaucoup plus, mais bon que pouvait-il faire d’autre à part attendre … Rien en fait, et puis ça ne le dérangeait pas tant que ça, il regardait les alentours et il n’y avait vraiment personne, ou du moins pas beaucoup de monde qui venait par ici. Le lieu idéal pour lui, parce que non pas que la foule le dérangeait mais c’était toujours beaucoup mieux d’être au calme …

Confortablement installé dans sa luxueuse voiture, Ayumi regardait défiler le paysage d'un air blasé. Oh non, elle ne détestait pas la nature, bien au contraire elle trouvait celle-ci merveilleuse et reposante, mais quelques évènements précédents l'avaient fortement agacés. Quoi donc? Une légère dispute avec ses parents. Enfin dispute était un mot exagéré. Dans de tel moment, les deux parties se criaient dessus non? Dans le cas de la demoiselle, il n'y en avait eu qu'un. Jamais elle ne se fatiguait à hausser la voix. En plus de s'irriter la gorge, elle n'en voyait guère l'utilité. On pouvait parfaitement se faire comprendre sans hurler. Certes, ce n'était qu'un simple moyen de montrer son mécontentement ou alors impressionner l'interlocuteur. La demoiselle était toujours maîtresse d'elle même. Quand à vouloir faire de l'effet sur un autre, elle savait parfaitement que les personnes étaient bien plus agacées d'avoir en face d'elle un opposant passif plutôt qu'agressif. D'accord, si la jeune fille ne sortait jamais sur ces gonds ce n'était aucunement pour cette raison. Elle était calme tout simplement et possédait un flegme impressionnant. Elle ne s'était donc pas mise en colère face à des géniteurs en rogne. Tiens d'ailleurs, qu'elle avait été la raison de toute cette petite scène? Un sujet bien banal et ne méritant pas autant de remus ménage. Bien qu'acceptant que leur progéniture puisse partir se promener en forêt à une heure tardive, ils refusaient catégoriquement qu'elle s'y rende par ses propres moyens. Ayumi aurait souhaité venir sur son lieu de rendez-vous en vélo mais il y'avait bien trop de risques! Et si elle se faisait renverser par une voiture? Certes, l'automobile possédait un plus grands taux d'accidents mais le père et la mère de la demoiselle adoraient trouver des excuses pathétiques pour justifier leurs envies. La BMW était digne d'une personne du statut d'Ayumi et non pas un tas de fer sur roues. L'élève trouvait cela tellement ridicule de prendre pareil engin pour se déplacer en campagne mais bon...Il fallait se faire à la décision de ses parents. Elle n'avait jamais pu s'opposer à eux ni réussit. En fait, elle n'avait jamais vraiment tenté. Peut-être réussirait t'elle si elle s'y essayait? Une idée intéressante.

"Arrêtez-vous là."

L'entrée de la forêt était à présent en face d'eux. Quoi que...Il fallait que la jeune fille se tourne sur la droite pour vraiment l'avoir dans sa ligne de mire mais peu importait. Comme elle s'y était attendu, Haruo était déjà présent. Non, elle n'était pas en retard. Elle était pile à l'heure. Seulement, elle avait subit un raisonnement plus ou moins logique. Une grande partie des personnes mangent bien souvent quelques minutes avant d'arriver. Hors quand il s'agissait de lieu éloigner, elles avaient tendance à partir bien plus tôt. Bien évidemment, rien n'était sûr. Ayumi n'avait émis qu'une simple supposition. Quand elle n'était aucunement sûre, elle ne préférait pas affirmer. Cela lui évitait de prendre sa faute comme une erreur. Enfin bref...Après avoir remercié le chauffeur (après tout elle l'avait dérangé!), elle sortit du véhicule pour s'avancer vers le jeune homme.

"On y va."

Non, pas une salutation. Elle détestait ça. Qu'il le prenne bien ou mal, elle s'en moquait.

Finalement Haruo avait trouvé quelque chose à faire pour s’occuper, il faisait le tri dans son téléphone. Et en même temps il se demandait ce que pouvait bien faire son grand frère à ce moment là. Finalement il s’était dit que peut-être il devait lui envoyé un mail juste pour avoir un peu de nouvelles depuis le temps. Il se demandait vraiment ce qui se passait dans la vie de Yazuma en ce moment et aussi qu’il aimerait le revoir … Bref après avoir légèrement penser à son grand frère, le jeune homme regarde les alentours. Vraiment, il n’y avait rien de mieux que la forêt pour passer un bon moment tranquille et sans le monde qu’il pouvait y avoir en ville. Haruo préférait donc le calme de lieux isolés que le brouhaha de la ville, d’ailleurs il ne sentait pas tellement bien dans les lieux trop fréquenter. Enfin après tout dépendait du lieu où il se trouvait.

Puis après quelques minutes, il voit une BMW arrivé devant l’entrée de la forêt, puis une jeune fille en sort. Haruo regarde sa montre, elle était à l’heure, à vrai dire c’est lui, n’ayant rien d’autre à faire était arrivé en avance. Ensuite la jeune fille s’approche de lui et elle lui dit directement "On y va. ". Au moins, ça avait le mérite d’être direct. Pas de salutation ni rien, mais ce n’était pas plus mal à vrai dire, ce n’était pas lui qui allait s’arrêté sur ce simple détail. Il se contente d’acquiescer positivement d’un signe de tête, et ensuite il prend ses clés qui étaient restées sur sa moto et il les met dans sa poche. Puis ensuite sans toujours rien dire, il se met à avancer pour entrer dans la forêt, tout en étant légèrement perdu dans ses pensées. Il se demandait si oui ou non, il pouvait se permettre de déranger son frère, et au final il s’était dit qu’il n’allais pas le déranger juste avec un mail de rien du tout.

Et dire qu’il y a quelques jours de ça, si on lui avait dit qu’aujourd’hui il serait là devant la forêt avec elle, il aurait tout bonnement dit que jamais ça ne pourrait arrivé. Tout simplement parce que Seiji l’a fréquentait, mais il faut croire que maintenant il avait dépassé ce stade de la jalousie, après tout ça ne servait à rien. Et il préférait apprendre peut-être un peu à connaître la jeune fille et à savoir ce qui avait tant plus chez elle à son meilleur ami. Oui, il c’était dit que Seiji ne serais rien de plus que son meilleur ami, après tout ce n’était pas parce que celui-ci avait des geste un peu trop affectueux envers Haruo que ça voulais dire quelque chose.

Cette promenade en forêt lui ferait le plus grand bien. Ce vent frais, le bruissement des feuilles, ce silence reposant, l'air peu pollué...Ayumi avaient besoin de respirer. Outre son impossibilité à s'exprimer qui l'étouffait, d'autres facteurs venaient la mettre mal dans sa peau. Mise à part le fait qu'elle aimait une personne qui ne la connaissait guère et qu'elle ne pourrait jamais avoir, elle ne supportait plus sa famille. Celle-ci lui mettait une pression intense. En tant qu'aînée, elle se devait de montrer l'exemple. Elle s'était toujours parfaitement conduite jusqu'à présent mais en avait oublié de vivre à tel point qu'elle ne savait comment s'amuser. Certes, elle avait quelques loisirs comme la lecture mais ceux-ci ne la distrayait plus. La jeune fille en était arrivée à un point où tout la lassait. Elle en avait aussi assez de quelques remarques. Oui, elle était belle et surdouée! Qu'on cesse de le lui dire et de ne voir que ceci en elle. Il y'avait aussi les critiques qu'elle n'arrivait plus à encaisser. Celles l'insultant d'être sans coeur la blessait de plus en plus. Elle se considérait comme tel. Quelques remarques acerbes de son entourage la faisait aussi souffrir profondément. Ses parents ainsi que sa soeur n'étaient pas stupide. Ils avaient parfaitement compris qu'elle vomissait chacuns de ses repas. S'ils avaient décidé de l'aider? Aucunement. Ses géniteurs n'y voyaient qu'une simple envie de ne pas grossir et puis ils avaient bien trop à faire que de s'occuper de petits problèmes d'adolescentes. Quand à Kaede...La cadette lui en voulait bien trop au point qu'une jalousie excessive soit née en elle. Ce qu'elle lui reprochait? Elle considérait qu'Ayumi possédait ce qu'elle n'avait pas, que celle-ci était bien plus parfaite qu'elle. Réflexion bien stupide. Cette idée n'était guère aimé d'Ayumi et la mettait mal à l'aise. Bref, bien des facteurs la rendait aussi sombre et certains ont été occultés lors de cette brève description. Simple dépression d'adolescente? Possible mais elle aurait aimé être aidé, qu'on fasse attention à elle. Non, elle n'était pas égocentrique. Pouvant se débrouiller seule depuis enfant, elle avait toujours été assez mise de côté par le monde adulte qui ne voyait pas la nécéssité d'être derrière une enfant aussi débrouillarde. Quand à ceux de son âge. Ils ne l'appréciaient que lorsqu'ils leurs fallaient ses devoirs ou des réponses lors de contrôle. Seule...Oui, elle l'était.

"Reste là!"

Les deux jeunes gens étaient arrivés au milieu d'une clairière. Trônant au centre de celle-ci, un immense arbre mort. Il semblait à part dans cette nature si luxuriante. Enfin, ce n'était pas cet attrait qui faisait qu'Ayumi avançait vers lui. Elle avait une autre idée. Quelque chose qu'elle avait toujours envie de savoir ou plutôt de ressentir. Tout comme le métro, la jeune fille voulait avoir cette impression qu'un moindre pas l'enlèverait à ce monde. Ce fut pour cette raison qu'elle monta jusqu'en haut du vieux chêne. Bien aggriper en haut, elle ferma les yeux. Haruo? Non, elle ne l'avait pas oublié. Peut-être allait t'il s'affoler...Non, il ne prendrait pas au sérieux qu'elle puisse sauter ou qu'elle fusse assez stupide pour ne pas être sur une branche stable et se tenir comme il le fallait. On avait toujours confiance en elle. Elle était sérieuse et ne penserait jamais à faire une seule bêtise.

"Si tu devais choisir ta mort, que déciderais tu? Sauter dans le vide...Tellement utilisé par les suicidaires...Comment se sent t'on quand on se jette? À t'on l'impression de voler? Se sent t'on tel un ange?"

Maintenant les deux jeunes personnes marchaient dans la forêt en silence. Et puis après tout Haruo n’avait rien trouvé à dire, et elle, il n’en savait rien donc il préférait ne pas rompre le silence. Il pensait encore et toujours, pleins de choses se bousculaient dans sa tête, c’était à en avoir mal à la tête à vrai dire. Et il en était venu à la conclusion suivante : que comparé aux autres, lui n’avait pas une vie très bien. Il n’était pas riche, ses parents étaient décédés depuis longtemps et le pire c’est qu’il n’avait parlé de ce détail à personne. Pas même à Seiji qui pourtant était son meilleur ami. Donc pour en revenir à ses moutons, la vie du jeune homme était différente de pratiquement toutes les personnes qui vivaient ici. Mais heureusement pour lui, il avait réussi à plus ou moins s’adapter malgré ses différences. Et puis finalement il se sentait bien ici. Logique en même temps, il y à passer plus de la moitié de sa vie, il y à ses repères et pleins d’autres choses aussi. Puis alors qu’ils étaient arrivés au milieu d’une clairière Ayumi le sort dans ses pensées en lui disant "Reste là!". Il s’arrête presque immédiatement et se tourne vers la jeune fille. Elle était en train de montée au sommet du seul arbre qui se trouvait dans la clairière. Et lui il la regardait en silence.

Une fois qu’elle s’était calée au sommet de l’arbre, elle avait l’air complètement ailleurs, perdue dans ses pensées. Mais alors que le jeune homme s’était avancer vers l’arbre lui aussi et qu’il s’était appuyé contre son tronc. Ayumi se met à lui parler, elle tenait des propos qu’il n’aurait pas imaginé qu’elle puisse dire en fait. En tout cas, lui, il n’en savait rien, personnellement il n’avait jamais essayé donc il ne pouvait pas la renseignée. Bref, il avait marqué un point de silence de son côté. Le temps qu’il réfléchisse à ce que la jeune femme venait de lui dire, elle lui posait une légère colle là en même temps.

« Je ne sait pas ce que je choisirais … Par contre, le meilleur moyen pour que tu sache, se serais d’essayé en fait. Mais bon, peut-être qu’au final tu regretterais ton geste si jamais tu te suicidais. Il y aurait tellement de bonnes choses que tu ne connaîtrait pas dans ce cas … »

Il ne faisait que dire ce qu’il pensait à Ayumi, et puis en lui posant cette question, elle l’avait forcé à parler. Bon, il ne pensait pas qu’elle sauterait de l’arbre maintenant, mais qui sait ce dont elle était capable réellement ? Après tout il ne connaissait pas la jeune fille, et elle était peut-être capable de le faire au fond. Peut-être qu’elle avait des problèmes que tout le monde ignorait, qu’elle en avait tout simplement marre de ce monde. Il y avait tellement de raisons, mais Haruo trouvait que certaines étaient vraiment nulles, des raisons qui en fait, n’en étaient pas. Bref, il regardait maintenant droit devant lui, en levant bien évidemment de temps à autres les yeux vers Ayumi pour voir ce qu’elle faisait. Si jamais elle en venait vraiment à sauter de l’arbre en sa présence il ne supporterais peut-être pas, parce qu’elle était « la copine » de Seiji et qu’elle l’aurais fait en sa présence. Et puis apprendre la mort de quelqu’un d’autre, c’était trop pour lui …

Le temps était doux pour un automne. Le vent ne s'était levé aujourd'hui mais une de ses enfants avait prit sa place. Il y'avait une légère brise, tout à fait agréable d'ailleurs. Elle venait rafraîchir sans pour autant faire frissonner. Le ciel quand à lui était sublime. Il n'était pas qu'un simple aplat de bleu qui lassait rapidement. Non, quelques nuages venaient le parsemés. Si Ayumi avait eu une once d'imagination, peut-être aurait t'elle essayé d'y devenir des formes. Elle n'en avait pas. Dommage pour elle. Ah oui, pourquoi s'éterniser sur la météo? Car elle allait bientôt changer. Et quelle en était la raison? La jeune fille venait de sourire. Ce n'était pas un de ses sourires narquois ou malicieux qui s'affichaient parfois sur son visage mais bel et bien un de ceux que l'on voit souvent sur la face des jeunes gens pleins de joie de vivre. Qu'est-ce qu'il faisait germer un aussi immense sourire amusé chez Ayumi? La stupidité d'Haruo. Elle avait un don pour prendre les gens pour des idiots. Bon, elle ne le considérait peut-être pas encore comme tel mais quelques nouveaux propos comme il venait d'en prononcer et elle ne le verrait aucunement comme un être intelligent.

"Comment pourrais-je le regretter si je suis morte? N'est-ce pas l'intérêt de mourir? Ne plus avoir conscience de quoi que ce soit et ainsi ne plus souffrir."

Elle s'assit sur la branche. Assez plaisanter. Même si cela était tentant, elle ne sauterait pas. Le jour de sa mort n'était pas encore venu. Le jour de son suicide était encore loin. Enfin...La jeune fille sentait tout de même qu'il se rapprochait. Elle avait conscience qu'elle donnerait fin à sa vie d'ici quelques temps. Son mal être était devenu bien trop important. Elle y pensait de plus en plus, en avait de plus en plus envie. Ce qui la retenait? Elle n'était pas encore à bout.

"On ne peut tout connaître. Quand j'y penses, je m'en contre-fiche."

Qu’elle le prenne pour un idiot ? Il n’en avait rien à faire pour tout vous dire. Après tout elle en avait bien le droit et lui, il était libre de dire ce qu’il voulait même si ça n’avait aucun sens. Bref, en tout cas c’était peut-être ses propos qui avait fait germé un sourire sur les lèvres de la jeune fille. Et en fait, il ne le saura probablement jamais. Mais bon pour le moment ils étaient en train de parlés. Le sujet était un peu bizarre, il fallait bien le dire mais il méritait tout de même que le jeune homme s’y attarde quelque peu. Y avait-il vraiment une vie après la mort ? C’était ce qu’il pensait en ce moment, sans pour autant qu’il y est une réponse à cette question idiote. Bref, de toute manière il se fichait éperdument de tout ça, l’heure de sa mort était loin. Enfin du moins il l’espérait. Ce qui était sûr c’est qu’il ne se suiciderait pour rien au monde, enfin à l’heure qu’il était.

« Humm … Oui peut-être. Et de toute manière je m’en fiche un peu parce qu’on va tous mourir un jour … »

C’est vrai quoi, ils allaient tous mourir un jour mais lui, il trouvait ça idiot de se suicider. Tout ces gens qui parce qu’ils avaient des malheurs en arrivait à ce point, c’était lâche envers la vie. Peut-être que Haruo aussi y avait songé un jour, mais si ça avait été le cas l’idée d’avait fait que lui effleurée l’esprit. Après tout il aurait pu trouver une raison comme une autre pour le faire, mais non. Bref, passons ce sujet qui n’était pas du tout réjouissant pour lui et pour les autres aussi d’ailleurs. Maintenant le jeune homme s’était assis en se laissant glisser le long du tronc d’arbre et il regardait les alentours. Vraiment cet endroit était vraiment calme, juste avec le silence, c’était presque parfait. Et oui, car les moments de détentes ne durent jamais longtemps.

Bon, il préférait en profiter, du silence, de l’air pur. Parce que malgré les apparences, il n’avait pas souvent le temps de s’offrir de telles « distractions » vue que la plupart du temps il devait courir à droite et à gauche. Après quelques secondes à être resté comme ça en regardant le vide, il relève les yeux pour voir si Ayumi était toujours perchée sur sa branche …

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